samedi 29 décembre 2007

Plus jamais ça

Profité de l'unique rayon de soleil de la semaine pour prendre en photo ce drame textile. Mon cardigan, mon tout premier, et seul objet fini à ce jour.

D'accord, le but de cet ouvrage était de tester mon aptitude au tricot et de voir si j'aurais la patience d'aller jusqu'au bout. Objectif atteint. Mais enfin, j'espérais aussi avoir un cardigan sympa à la fin, en récompense de tous ces efforts.

Le voici après avoir été porté quelques jours au total et lavé deux ou trois fois.


Voulant limiter les dégats éventuels j'avais choisi le fil le moins cher du rayon, 85 centimes la pelote de mélange polyester-acrylique. Je me doutais que l'aspect fini n'aurait rien à voir avec un pull Joseph, mais enfin pas à ce point là...


En plus certaines ont donné un coup de patte pour accélérer le processus. Comment leur en vouloir? Ca ressemble tellement à un paillasson. Il y a des chances pour que ça finisse dans leur panier d'ailleurs, à supposer que ça crée moins d'électricité statique sur un chat que sur moi. Pas gagné. Penser à récupérer au moins les boutons.


vendredi 28 décembre 2007

Idées tricot pour simplette


Mon Père Noël suédois à moi, cette Marie qui me surprend sans cesse, m'a envoyé ça juste avant Noël. Ses paquets arrivent toujours à temps, tandis que les miens sont réputés fêter la nouvelle année...
Que dire? Que ce magazine a été crée pour moi, c'est ce qui exprime le mieux ce que j'ai ressenti en le feuilletant.

En jugeant (uniquement) sur cet exemplaire-là, il n'y a pas une énorme différence de goût entre l'Europe et les USA.

J'aime les torsades, j'en ferais tout le temps si seulement je savais comment on fait.

Eh bien maintenant y'a plus qu'à! Je crois que je vais même m'offrir de la Big Wool pour un de ces modèles.



THANK YOU MARIE !









jeudi 27 décembre 2007

Jour blanc

Un de ces jours blancs comme je les déteste, un ciel chargé de neige qui se refuse à tomber et un brouillard à couper au couteau. Un sol si gelé que le verglas se forme littéralement sous nos yeux. Pas de soleil, même plus de ciel, juste cet air qui a des allures de coton. L'air est visible, c'est pas angoissant ça?

Bon, d'accord, c'est pas le Grand Nord canadien non plus. Mais quand même, quand on s'appelle Marinette et qu'on a grandi au bord de la Mediterranée, ce climat fout les jetons.

Voir les points positifs:
- je suis en vacances, donc pas de trajet en voiture à m'infliger
- il y avait Out of Africa à la télé cet après-midi
- ce pays n'est pas en guerre

A part ça je ne vois pas...

Heureusement, j'ai profité de cette parenthèse hors du monde réel (celui avec des rues, des maisons, etc...) pour avancer Karin. J'ai presque terminé le dos, et l'aspect qu'il prend me plaît. Souple mais avec une certaine tenue, j'ai le fil parfait pour ce modèle.
C'est le programme de ce soir, terminer le dos, et commencer peut-être le devant. Je suis si impatiente de le terminer. J'ai déjà acheté un petit T-shirt à manches longues très fin qui sera parfait à porter dessous en demi-saison.

Ne pas lâcher l'affaire.
J'ai recommencé à tricoter l'été dernier, alors que tout allait mal. J'ai l'impression d'avoir trouvé une béquille, un fil rouge dans ma vie, une activité à laquelle je prendrai toujours du plaisir quelle que soient les circonstances extérieures.

Comment expliquer l'effet apaisant du tricot?
Le premiers rangs, je rumine les idées noires en cours. Mais au bout d'une dizaine de minutes, alors que je suis déconnectée de ce qui m'entoure, au lieu de sombrer de plus en plus profondément mon esprit retrouve des ailes. Et se laisse porter lentement vers des pensées agréables. C'est bizarre non? Mon esprit laissé à lui-même part quasi-systématiquement vers les problèmes du passé, les problèmes en cours, les problèmes qui pourraient éventuellement arriver... Mais quand j'ai un tricot dans les mains la tendance s'inverse.

Tout le monde le dit, le tricot ça fait du bien à la tête. Pourquoi? Et pourquoi les travaux d'aiguille en particulier?
Car attention, s'occuper les mains ne suffit pas. Dans mon cas il faut qu'il y ait des aiguilles dans le jeu. Par le passé j'ai bricolé, restauré des meubles, dessiné et peint, malaxé de la pâte à sel et de la Fimo, fait des collages de papier. Mais rien n'est comparable au tricot - ou à la broderie, dans une moindre mesure.
Je suppose que l'activité manuelle la plus bénéfique varie selon les personnes. Mais parfois je me demande si les bricoleurs fous et les constructeurs de maquettes au fond du garage ne sont pas simplement des hommes frustrés de n'avoir jamais été initiés aux "ouvrages de dames".

Je crois que c'est un concentré d'énergies positives.
Je travaille à un vêtement qui me plaît, qui devrait me mettre en valeur. Je me projette donc dans l'avenir.
Ou bien c'est un cadeau, et je pense en permanence à la personne à qui je veux l'offrir (Mon tricot va pour ainsi dire changer sa vie. Il/elle va crier de joie, le mettre tout de suite et dormir avec le soir, en envoyer des photos à toute sa famille, et dans quarante ans ses descendants entendront encore parler du "petit pull rouge" ou de la "fameuse paire de mitaines".)
Et puis il y a le côté satisfaisant de se fixer un but - pas changer le monde, non, réussir un gilet au point de blé - et de l'atteindre. De faire quelque chose de concret, de créer de l'utile.
Tout ça c'est bon pour l'ego.

J'ai lu aussi quelque part que quand on tricote, les erreurs ne sont pas un drame. Se tromper est pénible et cause un supplément de travail mais enfin, on défait et on recommence, jusqu'à ce que tout soit parfait.

Et pas besoin de bosser pour être heureuse, lire me fait autant de bien que tricoter. Les blogs, les revues, les livres de modèles. Je deviens accro, pas une journée sans tricot.
Après avoir visité d'innombrables blogs de tricoteuses, le processus semble être le suivant:
étape 1 : la tricoteuse tente modestement une écharpe au point mousse, se jure de ne faire que des trucs utiles, portables et bon marché, et ricane devant les compulsives qui entassent des dizaines de pelotes dans leurs placards.
étape 2 : elle devient experte, réussit des ouvrages qui l'étonnent elle-même. A présent elle peut passer plusieurs heures par jour à tricoter. Achète des pelotes à des prix exorbitants et dans des quantités industrielles. C'est comme faire un stock de plaisir.
étape 3 : elle éprouve le besoin de remonter la filière. Elle achète un rouet et file sa laine, la teinte aussi.
Je suppose que l'étape 4 est l'achat d'un mouton.
J'ai peur.

mardi 25 décembre 2007

Joyeux Noël


Marinette a été une brave fille, puisqu'elle a été gâtée cette année. De quoi trouver l'inspiration pour de futurs tricots - elle est une fille persévérante - version campagne ou glamour, plein de bonnes choses, et peut-être un nouveau petit museau à la maison d'ici peu.



Programme des quatre prochains jours : en numéro 1 traîner à la maison et enfin récupérér, en 2 terminer le cardigan et continuer Karin qui avance bien, en 3 lire, lire, lire, et enfin en 4, prendre 1 heure chaque matin pour aller promener une certaine cabotine dans les champs gelés. Par -7° ça donne les joues roses. Et ça fait du bien.
Ah, oui, essayer de dormir aussi.




Un très joyeux Noël aux deux personnes qui lisent ce blog.





lundi 17 décembre 2007

Karin

L'essentiel des dernières semaines s'est passé à lutter contre microbes, bactéries en tout genre, etc... Et le combat n'est pas fini. Mais je refais surface de temps en temps.

La chaussette est toujours en attente, le gilet gris perle de MCI a progressé - en permettant le dur constat qu'il aura des bords francs car pas assez de fil pour les bordures - et le cache-coeur de bébé attend patiemment ses finitions depuis au moins deux mois. Pendant ce temps, le fameux bébé engraisse à vue d'oeil.

Donc, logiquement, je me lance dans un nouveau projet: Karin, du dernier Rowan. Avec un coton bio très doux, souple mais avec une bonne tenue, à 3 euros 95 les 100 grammes. Un rêve, non? Si le résultat est à la hauteur de mes espérances (ça me ferait plaisir pour une fois) ce petit pull sera un vrai bonheur. Réponse d'ici 5 ou 6 mois, vu que c'est en n° 3, donc ça monte encore plus lentement que les autres. Pas grave, d'ici 5 ou 6 mois ce sera la saison idéale pour le porter par-dessus un joli top. Le fameux été allemand; "Même en été, ne te découvre pas d'un fil."

vendredi 30 novembre 2007

La fièvre du vendredi soir


Et après ce sera Sex and the City. Avec sur mes aiguilles le devant droit du gilet gris perle pour lequel j'aurai (peut-être) assez de laine.

C'est vrai, à quoi bon se ruiner la santé à prendre des routes verglacées pour rejoindre des pubs enfumés dans lesquels les gens doivent crier pour couvrir la musique?... A quoi bon discuter, rire et se faire draguer, quand on peut rester toute seule à tricoter devant la télé?

Je me sens vieille et j'aime pas ça.

dimanche 25 novembre 2007

Le frisson du shopping





"La haute porte, toute en glace, montait jusqu'à l'entresol, au milieu d'une complication d'ornements, chargés de dorures. Deux figures allégoriques, deux femmes riantes, la gorge nue et renversée, déroulaient l'enseigne : Au Bonheur des Dames.

(...) Il y avait là, au plein air de la rue, sur le trottoir même, un éboulement de marchandises à bon marché, la tentation de la porte, les occasions qui arrêtaient les clientes au passage. Cela partait de haut, des pièces de lainage et de draperie, mérinos, cheviottes, molletons, tombaient de l'entresol, flottantes comme des drapeaux, et dont les tons neutres, gris ardoise, bleu marine, vert olive, étaient coupés par les pancartes blanches des étiquettes. A côté, encadrant le seuil, pendaient également des lanières de fourrure, des bandes de petit-gris, la neige pure des ventres de cygnes, les poils de lapin de la fausse hermine et de la fausse martre. Puis, en bas, dans des casiers, sur des tables, au milieu d'un empilement de coupons, débordaient des articles de bonneterie vendus pour rien, gants et fichus de laine tricotés, capelines, gilets, tout un étalage d'hiver aux couleurs bariolées, chinées, rayées, avec des taches saignantes de rouge.

(...) ils suivirent les vitrines, s'arrêtant de nouveau devant chaque étalage. D'abord ils furent séduits par un arrangement compliqué : en haut, des parapluies, posés obliquement, semblaient mettre un toit de cabane rustique ; dessous, des bas de soie, pendus à des tringles, montraient des profils arrondis de mollets, les uns semés de bouquets de roses, les autres de toutes nuances, les noirs à jour, les rouges à coin brodés, les chair dont le grain satiné avait la douceur d'une peau de blonde ; enfin, sur le drap de l'étagère, des gants étaient jetés symétriquement, avec leurs doigts allongés, leur paume étroite de vierge byzantine, cette grâce raidie et comme adolescente des chiffons de femme qui n'ont pas été portés. Mais la dernière vitrine surtout les retint. Une exposition de soies, de satins et velours, y épanouissait, dans une gamme souple et vibrante, les tons les plus délicats des fleurs, au sommet, les velours, d'un noir profond, d'un blanc de lait caillé ; plus bas, les satins, les roses, les bleus, aux cassures vives, se décolorant en pâleurs d'une tendresse infinie ; plus bas encore, les soies, toute l'écharpe de l'arc-en-ciel, des pièces retroussées en coques, plissées comme autour d'une taille qui se cambre, devenues vivantes sous les doigts savants des commis ; et, entre chaque motif, entre chaque phrase colorées de l'étalage, courait un accompagnement discret, un léger cordon bouillonné de foulard crème.

(...) Au fond, une grande écharpe en dentelle de Bruges, d'un prix considérable, élargissait un voile d'autel, deux ailes déployées, d'une blancheur rousse ; des volants de point d'Alençon se trouvaient jetés en guirlandes ; puis, c'était, à pleines mains, un ruissellement de toutes les dentelles, les malines, les valenciennes, les applications de Bruxelles, les points de Venise, comme une tombée de neige. "

dimanche 18 novembre 2007

Du côté de la chaussette

C'est tout simplement une grosse galère.

Comme j'ai tendance à tricoter serré j'ai comencé en aiguilles 3 au lieu de 2,5. Mais une fois fait le talon et commencé le pied, je me suis rendu compte que c'était beaucoup trop grand. J'ai détricoté jusqu'à la cheville - le mollet étant long comme un mi-bas il est souple et confortable en 3 - et j'ai recommencé le pied en 2,5. Bien mieux. Continué à tricoter, pleine d'espoir.

C'est à la pointe que j'ai commencé à perdre le contrôle des événements. J'ai fait et défait 6 fois la pointe, et quelle que soit mon interprétation des instructions j'arrive toujours à quelque chose de a/tordu, b/très laid, c/prévu pour huits orteils en forme de spatule, d/tout ça à la fois.

Les instructions étant en allemand je suppose que j'ai mal compris quelque chose, mais j'ai pourtant essayé toutes les solutions possibles... J'ai décidé de faire une pause et de tout reprendre à tête reposée. Plus tard. Très très déçue.

Pour me changer les idées j'ai commencé le gilet au point de riz du dernier Marie Claire Idées. Mais je ne suis pas sûre de la couleur. Et je ne suis pas sûre d'avoir assez de laine. Pffffffffff...



mercredi 14 novembre 2007

Shopping d'automne

Marie Claire Idées pour préparer Noël, le numéro le plus attendu ici, très réussi. Verena qui a toujours de très beaux modèles (mais... comment on dit "explications incompréhensibles" en allemand?), et Einfach Stricken, qui est tout simplement LE bouquin pour les tricoteuses débutantes. Je l'avais emprunté à la bibliothèque municipale et m'étais promis de me l'offrir si je réussissais à faire le cardigan. Il n'est pas glamour du tout, mais il donne toutes les techniques de base du tricot, illustrations et DVD à l'appui, avec des ouvrages simples mais gratifiants. Ca change de l'écharpe en point mousse. C'est grâce à (à cause de?) lui que j'ose attaquer les chaussettes. Et j'ai bon espoir de les réussir - même si ce n'est pas si simple...

lundi 5 novembre 2007

Surfer sur la vague

J'ai réussi à faire moi-même un cardigan du début à la fin, je lui ai cousu des boutons et je lui ai même donné un petit coup de fer final - c'est dire si j'étais motivée. Et tout ça ne m'a pris que... deux mois à peu près. Quant au cache-coeur, il en est aux finitions. C'est grisant. Plus rien ne me fait peur. Alors maintenant je tricote en rond. Des chaussettes. Avec cinq aiguilles, oui, oui.

dimanche 4 novembre 2007

Et voilà

... le cardigan terminé. Il est tricoté en Super Preis de Dolan (mélange acrylique/polyester). La bordure, réalisée avec une taille d'aiguilles plus petite pour avoir une certaine tenue, est surtout la cause de pas mal de faux plis au niveau du col. Et les manches sont trop larges. Mais il me plaît quand même. C'est un plaisir particulier de porter quelque chose qu'on a fait soi-même.



dimanche 21 octobre 2007

Avant-première

Le cardigan est fini. Fi-ni. Non sans mal, les finitions ont été une vraie punition. Alors que logiquement ça devrait être le meilleur moment, non? Celui où, après des heures de tricot, on assemble les morceaux informes et couverts de poils de chat pour voir enfin apparaître le vêtement qu'on avait rêvé... Enfin, avec le recul c'était pas si terrible, ça demande seulement beaucoup d'attention, une bonne source de lumière et un dos musclé - pour ne pas rester bossu une fois qu'on en a terminé.

Le résultat me plaît. Tout comme sur le modèle les manches sont très longues et le corps très court, ce qui donne une allure un peu bizarre. Les coutures sont régulières... à peu près partout. Il est suffisamment joli pour que j'ose sortir avec. Un bon point.

Je dois encore le laver (dans l'espoir fou d'avoir deux manches de la même longueur après séchage) et lui coudre ses boutons, donc photos au prochain post.

Autre grande première:

Un dimanche parfait, donc, pour commencer de nouveaux ouvrages...

... ou pour simplement traîner sous la couette.

mercredi 17 octobre 2007

Patience et longueur de temps...

... et une petite pause parfois, parce que les finitions, on n'en voit pas le bout. Mais ce serait bête d'abandonner si près du but.


jeudi 11 octobre 2007

A moi !

A moi, il est à moi, et c'est l'édition française en plus. Tout me plaît dedans. Rien qu'avec ce numéro je vais pouvoir tricoter une quinzaine d'années.

mercredi 3 octobre 2007

Atelier blocage

Jour férié, terminé toutes les pièces du cardigan et commencé à les bloquer, (re)commencé le cache-coeur.

lundi 1 octobre 2007

Ouiiiiii

J'avais bien remarqué il y a deux semaines qu'un nouveau magasin de laine venait d'ouvrir en ville, dans la rue des bars bizarrement. J'y suis passée ce matin: à peine ouvert et déjà en congé jusqu'au 3 octobre... Mais la vitrine ne laisse aucun doute, c'est essentiellement un dépositaire Rowan!!! Jusqu'ici le plus proche était à 150 km. Je me suis collée à la porte vitrée et j'ai rêvé; catalogues Rowan, Debbie Bliss, kits... Adieu boutique sombre des deux vieilles filles pas aimables, où tout est moche et cher, adieu la droguerie où on ne trouve que du polyester! Le monde de Rowan s'ouvre à moi. A deux minutes à pied de mon boulot (pas dans la rue des bars, moi je travaille dans la rue de la prison, quel quartier mal famé). Je suis une veinarde.

dimanche 30 septembre 2007

Saines lectures, la suite

Marie Claire Idées... De très belles images comme d'habitude, qui suffisent à faire rêver. Mais question ouvrages: un peu de nouveau et beaucoup de déjà vu, du piquant et du fade. Très sympa et rien d'exceptionnel en même temps. Le trousseau de bébé est décevant. En fait je crois que je n'aime que le numéro qui prépare Noël. Mais je ferai l'effort de relire celui-ci très attentivement.





Le hors-série De fil en aiguille est un vrai régal. Je n'ai jamais vu des grilles de chats aussi réussies. De nombreuses idées à suivre à la lettre ou à détourner, de la fourrure, du patchwork et des poils de chat, j'aime.

samedi 29 septembre 2007

En septembre

Le cardigan est resté en attente plusieurs semaines pour cause de rupture de stock - dans le panier à ouvrages comme à la boutique. Heureusement qu'ils font des pulls sympas dans le commerce parce que si je devais me contenter de ma production... J'ai commencé le cache-coeur de bébé, en trois mois, mais je dois tout reprendre à zéro car la mignonne grandit trop vite et moi je travaille trop lentement, il vaut mieux faire directement du six mois!




Le temps libre a été essentiellement consacré à de saines lectures, dont voici un petit aperçu, et à profiter du soleil. Un été tardif et frais c'est toujours mieux que pas d'été du tout.


Enfin, enfin un peu de ciel bleu!


jeudi 23 août 2007

Le tout premier

Voici une manche du tout premier tricot que je compte terminer et PORTER. Au final ça doit devenir un cardigan. Pour limiter les risques j'ai choisi une laine très bon marché ; que le cardigan soit portable ou pas il n'aura coûté que 6 euros.
J'ai aussi prévu de commencer un cache-coeur de bébé, un modèle trouvé sur le site de Bergère de France. Pour le réaliser il suffira seulement que j'apprenne à faire du point ajouré et du point de bordure au crochet. Faciiiile...

lundi 20 août 2007

Présentations

L'hyperactive et la fugueuse, les deux vraies patronnes de la maison.














Et Nicolette qui refait surface après des années passées au fond d'un carton. Bien décidée à prendre sa garde-robe en main. Manifestement elle en a assez de vivre nue.